Dans un communiqué de presse du 19 mai 2017, le laboratoire Pfizer informe les patients sur les risques d’allergie aux médicaments en vente libre, à savoir l’ibuprofène et le kétoprofène. Cette notice indique qu’en cas d’apparition de symptômes tels que rougeur et inflammation de la peau, démangeaisons, gonflement du visage et de la bouche, ou en cas de réactions allergiques sévères au kétoprofène, il convient de consulter un médecin.
Les deux médicaments sont des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Ils agissent en bloquant les effets de l’enzyme cyclooxygénase (COX). Il s’agit d’une enzyme qui joue un rôle essentiel dans la dégradation de l’acide arachidonique et de certaines hormones, dont les corticoïdes. Le kétoprofène est un anti-inflammatoire qui appartient au groupe des médicaments « non stéroïdiens » utilisés dans la prévention et le traitement des symptômes inflammatoires tels que les maladies articulaires, les douleurs et la fièvre. L’ibuprofène appartient au groupe des anti-inflammatoires non stéroïdiens à effet antalgique et antipyrétique.
Dans un communiqué du 17 décembre 2015, l’ANSM a rappelé que « la sécurité et l’efficacité des médicaments antalgiques non stéroïdiens (ibuprofène, kétoprofène et aspirine) chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n’ont pas été établies à ce jour ». L’agence de santé a ajouté que « les risques d’une utilisation prolongée et inappropriée des médicaments antalgiques non stéroïdiens chez les enfants et les adolescents ne peuvent être écartés ».
L’ANSM a donc recommandé la surveillance de l’utilisation du kétoprofène chez les enfants et les adolescents, dans le but de s’assurer que les enfants ou adolescents ne présentent pas un risque accru d’effets indésirables, tels que des réactions allergiques, des lésions de la muqueuse respiratoire, une insuffisance rénale ou hépatique, des convulsions ou d’autres formes de neuropathie.
Des recommandations concernant les personnes âgées et les personnes âgées fragiles ont également été émises par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Dans le cas où le médicament serait prescrit à une personne âgée, l’ANSM recommande d’« informer le patient des risques éventuels d’une utilisation prolongée et inappropriée ».
Dans son communiqué de presse du 17 décembre 2015, l’ANSM a également précisé que les personnes âgées, les personnes ayant des problèmes rénaux, des problèmes cardiaques et des problèmes rénaux doivent s’abstenir de l’utilisation du kétoprofène. Il existe également des risques de complications au niveau des reins lorsque le médicament est utilisé à forte dose. L’ANSM conseille de « surveiller les signes et les symptômes de problèmes rénaux et d’avertir le patient des risques de lésions rénales. »
La notice rappelle que le kétoprofène est un médicament « très fortement déconseillé » aux personnes souffrant d’asthme, d’insuffisance hépatique, d’insuffisance rénale et d’insuffisance cardiaque. De plus, il est recommandé de ne pas le prescrire à de jeunes enfants ou aux personnes âgées.
Enfin, l’ANSM rappelle que les personnes atteintes de pathologies neurologiques ou de problèmes cardiaques doivent prendre leurs médicaments en suivant les instructions du médecin.
L’ibuprofène est également contre-indiqué chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires. Cette contre-indication est valable pour les personnes âgées, les personnes atteintes d’insuffisance rénale et d’insuffisance hépatique, ainsi que chez les personnes souffrant de troubles du rythme cardiaque.
Si l’ibuprofène est prescrit à des personnes souffrant d’arthrose, d’arthrite, de rhumatisme ou de polyarthrite, il est contre-indiqué pendant la grossesse et l’allaitement. L’ibuprofène est également contre-indiqué chez les personnes atteintes de maladie hépatique ou rénale et chez celles qui prennent des médicaments qui augmentent le risque de saignement.
Enfin, la notice indique que l’utilisation de l’ibuprofène chez les femmes enceintes et les femmes allaitantes est contre-indiquée. En effet, l’ibuprofène peut avoir un effet tératogène.
Pour prendre l’ibuprofène, il est conseillé de suivre les recommandations d’un professionnel de santé qui a pris le médicament sous toutes ses formes : comprimés, gélules, suppositoires, et sprays.
Le médecin peut également prescrire des doses de plus en plus élevées pour les personnes atteintes de maladies cardiaques ou rénales.
Une fois la dose prescrite, il est important de ne pas dépasser la dose quotidienne recommandée. En effet, cela pourrait entraîner des effets indésirables.
L’ibuprofène doit être pris à la même heure chaque jour et à un moment fixe de la journée, pour éviter tout risque de surdosage.
En cas d’effets indésirables, comme les maux de tête, les troubles gastro-intestinaux, les troubles cardiovasculaires et les réactions allergiques, il est possible de réduire la dose de l’ibuprofène. Cela permet de réduire les risques d’effets indésirables.
En cas d’effets indésirables graves, comme des convulsions, des convulsions, une insuffisance rénale ou hépatique, une insuffisance rénale ou hépatique, ou un accident vasculaire cérébral, il est possible de suspendre la prise de l’ibuprofène.
La notice précise que l’ibuprofène peut entraîner des effets secondaires chez les personnes ayant des antécédents de convulsions.
Dans tous les cas, si vous ressentez des effets indésirables, veuillez consulter un médecin.
Il existe d’autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) disponibles sur le marché : l’aspirine, le kétoprofène, le naproxène, etc. Ils sont utilisés pour traiter une douleur modérée à sévère ou une inflammation dans certaines conditions.
Les deux médicaments présentent des risques de lésions rénales et hépatiques s’ils sont pris pendant une période prolongée. Ces médicaments peuvent également augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.
Les deux médicaments sont considérés comme des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Ils agissent en bloquant les enzymes responsables de la dégradation de l’acide arachidonique, ce qui réduit l’inflammation et les douleurs associées à la fibromyalgie.
Les deux médicaments présentent des risques d’effets indésirables, notamment les convulsions, les lésions hépatiques et les maladies rénales. Il est donc important de respecter les recommandations de votre médecin et de consulter un professionnel de santé si vous présentez des effets indésirables.
L’ibuprofène et le kétoprofène sont des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Ils sont disponibles en comprimés, gélules et suppositoires et peuvent être achetés en pharmacie. Leur prix varie en fonction du type de comprimé et de la quantité.
L’ibuprofène et le kétoprofène sont deux médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens. Ils sont similaires au paracétamol ou à l’aspirine. Ils agissent en bloquant les enzymes qui dégradent l’acide arachidonique.
Le kétoprofène est un médicament couramment utilisé pour traiter la douleur et l’inflammation. Cependant, il peut avoir des effets secondaires graves, notamment des effets indésirables graves comme les convulsions, les lésions hépatiques ou rénales.
Le kétoprofène est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) couramment utilisé pour traiter la douleur et l’inflammation.